Le blog de plaisirs adultes coquins
Kelly est indéniablement la spécialiste des sodomies violentes. Une fois de plus, elle se fait complètement déchirer les orifices ! Bien évidemment, un chibre ne suffit pas pour satisfaire cette nympho ! Deux bourrins sortent alors leurs bites bien dures, qu'elle suce avec appétit. Les salauds en profitent alors pour lui baiser la gueule profond ! Mais sans tarder, ils passent à l'éssentiel, et enfourchent son anus à sec ! Une grosse bite dans le cul, ça laisse des marques, mais alors 2 en même temps, je ne vous raconte pas la taille du trou !! Les types vont d'ailleurs s'amuser à dilater son anus élastique devant la caméra, c'est un véritable puits ! Voilà une baise très violente, pour contenter une chienne de haute volée ! Elle finira par boire jusqu'à la dernière goutte, le foutre de ces messieurs !
Pourquoi ce titre (1) ? Y-a-t-il une suite ? :) Belle histoire coquine ! merci du partage Karim...
Marc mon mari partit en voyage d'affaire, je me retrouvais seule avec mon fils de 3 mois et ma libido déréglée.
Depuis cette soirée où Marc m’avait enculée pour la première fois, j’étais dans un état d'excitation permanente.
Le pire est que cette excitation était focalisée sur mon anus. Je ne pensais qu'à ça. Avez-vous déjà regardé le biberon de votre enfant en vous demandant quelle sensation cela vous ferait s'il était enfoncé dans votre anus? Et c'était pareil avec tous les objets de la maison, présentant une forme plus ou moins phallique.
Profitant de l'absence de mon mari, je décidai, dès le premier jour, de prendre le sujet en main. J'allais acheter mon premier gode... en voici le récit.
J’étais déjà rouge de honte à l'idée d'entrer dans un sex-shop. J’imaginais le regard lubrique du vieux client pervers (il y en a toujours un), le sourire en coin du vendeur...
Je me décidai finalement à entrer. Le vendeur était en fait une jeune vendeuse, probablement une étudiante car à peine 18 ans. Le contact avait tout de suite été chaleureux.
"Bonjour madame" dit-elle d'un ton joyeux en sortant de l’arrière-boutique. Je crus voir néanmoins une gêne. Je n’y prêtai pas plus d’attention.
"Bonjour"
"Je vous laisse faire le tour, n'hésitez pas à me demander conseil" annonça-t-elle avec le regard qui s'attardait sur ma poitrine pleine de lait.
"Quels conseils une fille qui est presque deux fois moins âgée que moi peut me donner ?" pensais-je furtivement, je me ravisai bien vite car il était évident qu’une vendeuse de sex-shop en connaît plus rayon sexe qu'une mère de famille qui a découvert la sodomie il y a à peine une semaine et qui achète son premier sextoy.
Je fis rapidement le tour de la petite pièce du regard, étrange, pas de vieux vicelards à l'horizon. Je ne pus m'empêcher d'esquisser un petit sourire. Je repérai rapidement l'emplacement des jouets et m'y dirigeai d'un pas hésitant, ne voulant pas montrer mon intérêt de façon trop évidente. Mon regards s'attarda un moment sur une mallette contenant trois jouets en forme de cône avec une partie plus étroite (je découvris à ce moment-là le mot de "butt plug"). C’était exactement ce qu'il me fallait. Je commençais à mouiller abondamment en pensant à ce que je pourrais en faire. Je n'étais pas sure de pouvoir faire le tour du plus gros avec mes doigts.
Je fus interrompue dans mes pensées lubriques par la voix de la jeune vendeuse
"Un conseil peut-être?"
"Euh, oui... c'est combien le coffret là?" demandais-je d'une voix chevrotante
"Le coffret dilatation anale est à… 50 euros" annonça-t-elle après avoir consulté une fiche
"Pour l'initiation à la sodomie, c'est parfait… Attendez, parfois le toucher est déterminant " renchérit-elle en me tendant la mallette ouverte.
Je tâtais timidement le plus petit puis, me rapprochant du plus gros, je l’empoignai. Effectivement, mes doigts n'en faisaient pas le tour. Il devait faire vers les 6 centimètres.
"Celui-ci n'est pas un peu gros pour une débutante ?"
"Oh au début oui, mais on s'y fait vite, passé les premiers moments, c'est que du plaisir. Vous pourrez même le garder plusieurs heures" me répondit-elle, tout sourire.
Cette discussion était surnaturelle. Nous discutions d'objets destinés à être introduits dans un rectum, dilatant l'anus à 6 cm pendant plusieurs heures jusqu'à le rendre béant, comme si c'était des casseroles. Elle m’aurait fait une démonstration de ce plug avec son propre anus que je n'aurais pas été plus étonnée que ça. Cette pensée me traversant l'esprit, fit monter mon excitation d'un cran. Je sentais mon anus s'ouvrir de lui-même sous l'excitation grandissante. Ma mouille venait de franchir la barrière de la culotte et commençait à couler le long de ma cuisse.
"Oh mais attendez, nous avons reçu un nouvel arrivage" puis elle partit précipitamment en arrière-boutique. Sa démarche était un peu étrange. Cela devait être dû au talon haut qu’elle portait. Je remarquai à ce moment-là qu’elle avait une chute de rein magnifique.
Elle revient avec une boite transparente dans les mains. À l'intérieur, il y avait un énorme butt plug noir.
"Et si ça ne vous satisfait pas, nous venons de recevoir ceci" dit-elle en sortant le plug de sa boite.
Ses mains paraissaient minuscules en comparaison. Je remarquai immédiatement une poire de gonflage au bout d'un tuyau. Devinant mon interrogation, elle empoigna cette poire et se mit à gonfler le plug qui prit une taille démentielle équivalente à une main de mon mari.
"Je le prends aussi" dis-je d'une façon quelque peu précipitée. Je commençais à sentir l'orgasme venir. Il fallait vite que je sorte de cet endroit.
J’allai vite régler mes achats. La vendeuse m'offrit un tube de lubrifiant anal qu'elle prit de sous son comptoir. C’est avec un grand sourire qu'elle me le mit dans un sac blanc, on ne peut plus anonyme.
"Merci beaucoup !" dis-je en empoignant la poignée de la porte.
"Merci à vous, bonne journée !"
Je ne fis pas 10 mètres sur le trottoir que je m’arrêtai, haletante. J’avais des bouffées de chaleur, les jambes tremblantes. Après quelques dizaines de secondes, je repris mes esprits. Comment avais-je pu découvrir la sodomie il y a 1 semaine et fantasmer à ce point sur la taille de ce que je pouvais me mettre dans l'anus ? Mon excitation semblait être proportionnelle à la grosseur de l'objet. La simple vue du plug grossissant avait failli déclencher un orgasme. L’idée qu'un tel objet pouvait prendre place dans mon rectum et l'élargir jusqu'à ne plus pouvoir le refermer, laissant mon anus béant, tel un gouffre sans fond, me mettait dans un état hystérique.
N’y tenant plus, je me cachai au coin d'une ruelle, fouillai dans le sac du sex-shop à la recherche de la mallette des butt plug. Je l'en sortis et déballai hâtivement le plastique de protection. C’est avec une main tremblante que j’enserrais le plus gros. Mais je doutais de pouvoir me le mettre sans une longue dilatation de mon anus, ce serait pour plus tard. Pour le moment, je voulais juste me pénétrer l'anus, peu importe avec quoi. Mon regard se dirigea vers le plus petit des plugs, il faisait tout de même 4 cm de diamètre.
Pour ce qui était de la lubrification, mon entrejambe était tellement détrempé que cela ne posa aucun problème. Il me suffit de passer le plug entre mes grosses lèvres dégoulinantes. Je ne pus m’empêcher de pénétrer mon vagin. Cela me permit d’apprécier la taille de l’engin, celle-ci était très similaire à la queue de mon mari Marc. Cela n’allait pas être si simple de le mettre dans mon anus, vu la préparation qu’il avait fallu lors de ma première sodomie.
En écartant ma culotte, j’insérai le plug dans mon anus. J’eus la surprise de sentir mon anus s’ouvrir docilement. La sensation était extraordinaire, c’était comme si mon sphincter avait une volonté propre. Il avait gobé le plug d’une seule traite et semblait avoir encore faim. Mon anus se contractait sporadiquement autour du plug, comme le ferait mon fils sur l’un de mes seins pour en boire le lait.
Je retirai le « petit » plug avec l’intention de le remplacer par le moyen. Mon anus avait faim, j’étais bien décidée à le nourrir copieusement. L’insertion du plug de 5 cm de diamètre fut plus difficile. Je dus le lubrifier plusieurs fois en serrant les dents, il finit par entrer. Et mon anus continuait à téter goulûment ce plug malgré qu’il me comble le fondement à la limite du supportable.
A ce moment-là, je sus que je ne pourrai plus jamais m’en passer…
J'ai jamais essayé !
L'histoire m'inspire pour faire, pourquoi pas, la même chose...
"Mon anus est plus large qu'avant, tu ne veux pas regarder?"
C’est que me déclara ma femme quelques semaines après la naissance de notre premier enfant. Nous étions dans notre lit conjugal à discuter de nos journées respective sans grand intérêt lorsqu'elle me regarda intensivement avant de faire sa demande :
"C’est peut-être le passage de Théo dans mon vagin qui a élargi mon anus, tu verrais la taille de mes merdes ?"
Je fus abasourdi par cet aveu. Venant de ma femme Marie qui est presque aussi prude qu'une nonne, cela sonnait étrangement. J’avais, malgré tout, remarqué une hausse de sa libido depuis la naissance de Théo, cela n'était pas pour me déplaire.
"Si tu veux, mets-toi donc à quatre patte que je regarde ça, ma puce"
"Oh merci chéri, c'est mignon"
Sur ce, elle repoussa les draps et se mit sur ses genoux. Tout en se cambrant, elle releva sa chemise de nuit jusqu’à la taille puis posa ses mains sur le matelas. Sa croupe était à quelques centimètres de mon visage. Je fus immédiatement saisi par l'odeur de cyprine et jetai un coup d'œil a la fente naturellement presque imberbe: elle était ruisselante. Ma femme était excitée comme je ne l'avais jamais vue.
La voir dans cette position me fit me rappeler combien elle est belle. Un visage doux aux traits fins, cheveux châtain clair, menus, avec une poitrine légèrement trop développée par rapport à son gabarit. D’autant qu'elle allaitait notre fils, ses seins avaient pris deux tailles de bonnet pour atteindre du 85f.
"Je ne vois rien de spécial" dis-je même si je n'avais aucune idée de l'état normal de son anus.
"Allez, regarde mieux, je suis sûre qu'il est plus large"
Elle se colla la joue droite au matelas et écarta ses fesses avec ses mains. Je vis son anus clairement s'ouvrir un peu, celui-ci avait en fait des spasmes, sûrement du à l'excitation. Je décidai alors de jouer son jeu.
"Oh mais tu as raison ma puce, il y a quelque chose"
"Ah, tu vois!!"
"Attends trois secondes..."
Je filai dans la salle de bain, il devais y avoir du lubrifiant pour préservatif. Je le trouvai en fouillant un peu, le flacon était périmé mais je doute que cela change quoi que ce soit.
Je revins dans la chambre avec le flacon à la main. Marie sut immédiatement ce que je préparais car elle eut un petit sourire et se cambra un peu plus, toujours les mains écartant ses fesses.
Le flacon était équipé d'un poussoir, j'en mis une noisette sur son anus fripé et commençai à masser le pourtour puis, avec mes deux pouces, écarter les chairs autour de son anus de sorte que celui-ci se décontracte et commence à s'ouvrir sous la traction
"Détends-toi ma puce, il faut que je regarde plus avant !"
"J’essaye"
Je profitai d'une brève décontraction pour insérer la première phalange de mon index.
"Oh, vas-y, enfonce le a fond pour voir !"
Mon doigt entra dans son anus jusqu’à la dernière phalange. Je ne sentis aucune matière au fond de son anus, je me demandai à ce moment si elle n'avait pas tout prémédité. Mais je n'allais pas m'en plaindre, pour une fois que j'avais la permission de faire des choses cochonnes avec elle.
"Ah, tu vois que je suis large!"
"Bah, attends, je n'y ai qu'un seul doigt, ce n'est pas ce que j'appelle large, en plus je suppose que tes merdes sont plus grosses que ça"
"Eh ben, vas-y mets-en un deuxième, je suis sure qu'il va rentrer tout seul"
Encore une fois, je ne me fis pas prier, je sortis mon index pour le remettre aussitôt, escorté par mon majeur. Je les enfonçai à fond sans plus de façon. Elle poussa un petit gémissement tout en venant à la rencontre de mes doigts
"Ohhhh, il y en a deux-là?"
"Oui ma puce mais je sens qu'il y a encore un peu de place.
"Essaie donc d'en mettre un troisième, gros nigaud !"
Au lieu de sortir les doigts déjà au chaud, je mis l'index de mon autre main au côté des deux autres. Cette fois, l'anus était réellement étiré et la réaction de ma femme ne se fit pas attendre
"oh oui chéri, maintenant fais des va et viens, je suis sure que ça coulissera tout seul"
Je fis donc des vas et viens d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Tout en enfonçant les doigts, j'écartais mes deux mains de plus en plus.
"Oh oui chéri, écarte encore, défonce-moi !"
Je travaillais l'anus de ma femme pendant une bonne dizaine de minutes.
"Tu es effectivement large de l'anus, ma puce"
"Dis-moi, de combien tes doigts sont écartés"
"Il y a un trou de 1 cm"
"je suis sure que je peux faire plus, écarte encore plus !"
J’étais déjà en train de tirer très fort, surtout que mon index solitaire commençait à fatiguer. Je rajoutai une bonne dose de lubrifiant sur et dans son anus resté entrouvert et mes doigts puis je lui enfilai les index et majeur de chaque main. Je fis alors des à-coups tout en tournant les doigts. Ce qui la rendit folle.
"Oh encore, encore, tu me dilates l'anus, écarte, écarte!!"
"J’en suis encore à 1 cm, mais avec 4 doigts, je continue?"
"Non mon chéri, mets plutôt ta bite à la place !"
Je ne me fis pas prier car c’était la première fois en 3 ans de mariage qu'elle me permettait de la sodomiser. Mon pénis était déjà au garde à vous, caché dans mon caleçon. Mon sexe est d'une taille plus que banale, voire en dessous de la moyenne, pas de quoi fanfaronner en somme. Je mis un peu de lubrifiant dessus même si son anus était déjà dégoulinant.
Mon sexe entra d'un coup jusqu’à la garde
"Oh mon salaud!! Tu aurais pu prévenir !"
"Tu aimes ça quand je suis brutal hein?"
"Oui, un peu"
Je commençai à accélérer jusqu'à avoir un rythme effréné. Je ne bougeais plus car mes abdominaux fatiguaient, je tirais la croupe de ma femme à moi telle une poupée gonflable.
"Han, han, ah, tu en prends plein le cul là, ma garce !"
"Oui insulte moi, je suis ta pute !"
"Tu aimes te faire élargir l'anus hein? Je vais te le démonter, espèce de traînée !"
"Oh oui, à fond, plus vite, oui !"
Son anus était complètement détendu et faisait des bruits de succion très sonores à chaque fois que je sortais mon sexe de son anus qui restaient ouvert. L’ouverture était juste à ma taille, ni trop béant, ni trop serré.
Je ne me retins pas longtemps. En l'espace de 10 min, je déchargeai au fond de son rectum, le sexe enfoncé à fond.