Lundi 21 octobre 1 21 /10 /Oct 19:51

A quatre pattes sur un canapé, notre salope aux gros nibards s'affaire déjà sur la queue d'un black lorsque la scène commence. Gourmande, elle savoure chaque centimètre de ce membre qu'elle gâte de petites attentions. Puis, elle se tourne pour nous laisser voir son anus plissé et sa chatte bien lâche. A priori, il vaut mieux être lourdement équipé pour espérer la faire décoller un tant soit peu ! Heureusement pour elle, notre ami est doté d'un gourdin bien épais. Très vite, il lui fourre dans la cavité sans le moindre problème. Cette salope frétille comme une anguille ! Les bites de blacks, c'est vraiment son truc ! A la demande du gars, elle s'assied sur son dard tordu pour se baiser toute seule comme une grande. Puis elle se fait chibrer allongée sur le dos avant de lui lustrer le noeud avec sa langue rapeuse. Si vous aimez les gros culs, vous adorerez voir son pétard bien gras balloter de tous les côtés sous les coups de reins du gars jusqu'à ce qu'arrive enfin l'ultime récompense : un masque de sperme chaud sur le visage de cette salope mature !

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Par Jessica - Publié dans : Vidéos
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Commentaires

Je suis un mari cocu volontaire

Le soir de notre anniversaire de rencontre, j’ai offert à ma femme Nadia le bracelet qu’elle voulait tant, même si c’était une véritable petite folie. J’avais préparé un bon petit dîner en amoureux afin que la soirée se déroule parfaitement. Enfin presque tout, ma petite Nadia arrivant avec une heure de retard, folle furieuse après son patron et, ayant en plus, complètement oublié notre anniversaire. Dire que généralement, on pense que ce sont les hommes qui oublient les anniversaires !
Enfin la soirée ne se passe quand même pas trop mal, même si on est loin de ce que j’avais espéré. Ma femme s’en rend d’ailleurs tout à fait compte et se confond en excuses toutes les dix minutes. Au milieu du repas, je lui dis d’arrêter et de profiter plutôt de la soirée. Elle me regarde droit dans les yeux, puis glisse sous la table et entreprend une fellation dont elle a le secret. Evidemment, nous n’avons pas mangé le dessert, la soirée se terminant au lit bien plus tôt que prévu. Durant les jours suivants, je sentais ma femme plutôt distante et tracassée. Je lui demandais pourquoi tant de soucis, elle me répondit qu’oublier l’anniversaire de notre rencontre était vraiment impardonnable de sa part.
Le samedi suivant, en rentrant de chez un ami, je trouve un mot de Nadia :

« Prends une douche et habille-toi, nous sortons ce soir. »

Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne. Ma femme m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de soie. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffle à l’oreille :
- « Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit…. »

Je frémis et me sens très fier d’être son mari.
- « Où allons-nous ? »
- « Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas ! »

Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux et là, j’ai eu le premier choc de la soirée.
Ma chérie, si discrète, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement, la veste portée à même la peau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant qui s’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins. Je reste sans voix. J’entends Nadia qui prend les choses en main et se dirige vers notre table. Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.
Tout en dégustant notre repas, Nadia m’explique sa petite mise en scène. Ce soir, elle a voulu me faire plaisir et s’est donc achetée ce tailleur, des bas et un string. Je n’en reviens pas ! Et je dois dire que, pendant qu’elle m’expliquait tout cela, je n’ai pu détacher mon regard de ses seins qui se balançaient librement sous sa veste. Je n’étais d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûtait. Le serveur ne se gênait pas pour la regarder avec insistance, et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie montait en moi lorsque Nadia me dit :

- « Il ne faut pas, après tout, n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards? Laisse-moi faire et profite du spectacle ! »

Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, l’ont suivie du regard.
Au bout de quelques minutes, elle est revenue, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle avait quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s’est assise que je me suis aperçu que son décolleté baillait franchement. Elle avait déboutonné encore plus sa veste et devenait ainsi très provocante. Franchement, elle m’épatait et m’excitait à la fois. L’excitation remplaçait petit à petit jalousie. Elle me chuchota alors :

- « Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string… »

Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vint alors et nous demanda ce que nous voulions tout en louchant dans le décolleté de Nadia. Elle fit mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste, dévoilant discrètement un de ses beaux seins au regard avide du serveur. Une fois seuls, elle me demande :

- « Tu as aimé ? »
- « Oui, mon amour »
- « Moi aussi, cela m’excite. »

C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et ma femme me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant. Bien sûr, j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bar dont nous avions entendu parler. Dans la voiture, je caresse doucement ses cuisses et, en remontant délicatement, je m’aperçois qu’effectivement, elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé.
Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée, quelques couples dansent au son d’un piano qui joue une douce mélodie. Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool, Nadia me propose de danser. Doucement, nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je propose à ma chérie un autre cocktail et la laisse près de notre table. Lorsque je reviens, un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour demander mon accord et elle se dirige vers la piste, au bras de son cavalier.
De ma place, je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit, je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie et l’excitation me reprennent. Un moment, je capte le regard interrogateur de Nadia. Mes yeux brillants, mon sourire sont autant de oui à sa question muette : « Bien sûr, si tu le veux, laisse-le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos ».

Je continue donc à observer ce couple, composé de ma chérie, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table, j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme face à moi, regarde dans ma direction. Lentement, sans lâcher une seule seconde mes yeux, il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis la joue, s’arrêtant juste à la commissure des lèvres.
C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Nadia remercier cet homme et venir me rejoindre.

- « Tu es en colère ? » Me demande-t-elle inquiète.
- « Non, pourquoi le serais-je ? »
- « Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ? »
- « Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui, j’ai aimé le voir te caresser, t’embrasser. Et toi ? »
- « C’était très agréable ! »

C’est à ce moment là, qu’intérieurement, je me suis posé la question pour la première fois de savoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains, je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit :

- « Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. »

Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin, je lui dis :

- « Ecoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu en as vraiment envie. »

Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes, l’homme revient et se met à danser devant elle. Petit à petit, ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle, voire lascive. Je regarde, fasciné, ma chérie adorée exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle.
L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille. Nadia le regarde et lui sourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique, rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal.
Je la vois alors me regarder et articuler distinctement : « Pour toi, je t’aime ».

Ma tension intérieure chute brutalement et je lui souris. Elle regarde alors son cavalier et l’embrasse sur la bouche. Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Nadia pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui. Ils dansent ainsi quelques minutes, se rendant caresses et baisers. À l
commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 24/10/2013 à 09h14

Merci beaucoup pour cette histoire super ! Dommage que la fin soit tronquée !

Merci de votre visite...

réponse de : Jessica le: 25/10/2013 à 16h36
Ma femme et Slim le barman
Dix ans de vie commune, c'est bien. Cela permet de bien se connaître, de savoir ce qui fera plaisir à l'autre, quels sont ses goûts en matière vestimentaire, culinaire, de musique, cinéma...

Mais cela présente aussi un inconvénient. Le sexe tiédit lentement mais sûrement pour devenir souvent assez froid. Et ce qu'on prend pour l'âge, c'est souvent l'habitude.

Ma femme Nadia m'a souvent répété que la taille de mon sexe, ce n'était pas important et que, ce qui comptait, c'était de savoir s'en servir. Mais tout de même, je voyais nettement son regard lorsque nous nous baignons nus ou que nous étions nus sur le bateau seuls ou avec des amis, se porter sur les membres souvent très importants de nos amis.

Nous avions parfois évoqué ensemble le fait qu'elle prenne un amant ou qu'elle ait des aventures, mais au début de ces conversations, c'était toujours un non catégorique de sa part, puisque, disait-elle, elle était sexuellement satisfaite.

Avec le temps, le non fut moins catégorique, puis elle finit par plaisanter avec ça. Des plaisanteries légères, du genre "oui, il est pas mal, j'en ferai bien mes week-end" ou bien "je pense que c'est un homme à femmes".

Puis, pour ceux qui ont suivi mes différents récits, vous savez qu'elle a fini par avoir quelques aventures, par ci par là. Sans conséquence.

Un jour, il n'y a pas si longtemps, nous étions très précisément dans le night club de l'hôtel où nous étions en vacances. Très bel hôtel, beau night club.

Nous dansions mais sans passion et surtout sans désir. Un peu triste tout ça. Elle regardait de temps en temps du côté du barman, un superbe personnage.

Puis, il y eut un incident auquel ni elle ni moi ne nous attendions. Le barman est venu nous servir à boire alors que nous n'avions rien commandé et nous demanda s'il pouvait faire danser ma femme après son service. Un peu interloqués, ma femme répondit par l'affirmative.

Une demi heure plus tard, il est venu la chercher et il nous a proposé d'aller danser ailleurs, dans un club sympa qu'il connaissait bien.

Dans cet établissement, à peine arrivés, nous avons compris qu'il y avait une ambiance un peu spéciale. Les robes de certaines femmes étaient trop sexy pour être honnêtes et
certaines étaient carrément en soutien gorge et slip. Quant aux hommes, certains étaient torse nu, d'autres en string.

Nous ne sommes pas des adeptes de l'échangisme mais, est-ce l'alcool que nous avions consommé ou cette ambiance un peu électrique, nous avons décidé de rester.

Slim, c'était le nom du barman, prit ma femme par la main et l'entraîna sur la piste. J'étais assis au bar devant un verre et je regardais le spectacle sans désir, sans passion.

Au bout de quelques minutes, les slows se succédaient et s'enchaînaient, je vis Slim enlever sa chemisette et danser torse nu avec ma femme. Je les voyais discuter en riant. Ma femme était collée contre lui. Là, je dois dire qu'après 10 ans de vie commune, elle a réussi à m'étonner. Elle enleva son chemisier qu'elle posa sur une chaise en bord de piste et continua à danser avec Slim. Là où j'étais, je voyais leurs ventres collés. Je voyais surtout les mains de Slim remonter sur la ceinture de la jupe de ma femme et, quelques instants plus tard, la jupe rejoignit le chemisier.

Incroyable mais vrai, je venais de me rendre compte que j'avais une érection extraordinaire. La vue de ma femme en lingerie avec un noir à demi nu m'excitait au plus haut point.

Slim décida de passer à la phase suivante. Il récupéra les vêtements de ma femme qu'il lui tendit. Elle se rhabilla et tous les deux vinrent vers moi sans un mot.

Ma femme me dit: "Viens, on s'en va !". J'ai suivi.

Nous prîmes à pied le chemin de la plage et traversâmes un petit bois touffu.

Sans un mot, sans avertissement, j'oserais dire sans crier gare, Slim colla ma femme contre un arbre. Il l'embrassa presque sauvagement devant moi, pétrifié, lui souleva sa jupe, et sans autre forme de procès, lui ôta sa culotte. Ma femme ne réagissait pas et, les yeux fermés, semblait attendre. Slim sortit alors de sa braguette, un sexe comme je n'en avais jamais vu !

Il souleva légèrement une jambe de ma femme et la pénétra d'un coup. Etant donné la facilité avec laquelle il la prit, j'imagine dans quel état elle devait être. Je lui pris la main gauche, la posai sur mon sexe pour qu'elle puisse voir quel effet cela me faisait de la voir faire l'amour avec un autre.

Slim commença un brutal mouvement d'aller retour. Ma femme criait de plaisir, prononçait des mots crus, le suppliait de la pilonner toute la nuit. Elle eut un premier et violent orgasme, suivi d'un second quelques minutes après et, aux cris poussés par Slim, je compris qu'il se vidait en elle.

Ils restèrent encore quelques instants agrippés l'un à l'autre, puis se séparèrent, je devrais dire se décollèrent et Slim nous proposa d'aller sur la plage. Quelques minutes plus tard, à peine arrivés, Slim dévêtit entièrement ma femme. Lui aussi se mit nu. Il la fit mettre à genoux, se plaça derrière elle, et ayant retrouvé une érection phénoménale, il la pénétra en levrette.

Elle hurlait de plaisir, criait des mots sans suite, le suppliait de la défoncer fort et longtemps.

Il ressortit son sexe, la mit sur le dos, plaça les jambes de ma femme sur son cou et la pénétra à nouveau. Elle n'arrêtait pas de jouir. Il éjacula encore une fois. Et là, ma femme a décidé de prendre les initiatives. Elle prit son sexe dans sa bouche et décida de le faire regonfler. Pendant ce temps, il lui caressait la chatte qu'elle avait trempée évidemment.

Je n'avais jamais vu un homme avoir de telles érections à répétition. Il la pénétra à nouveau, encore en levrette et elle jouit encore.

Nous sommes rentrés ensuite nous coucher. Slim est parti de son côté. Au moment de nous endormir, ma femme a eu cette phrase extraordinaire :

"Tu avais raison, les grosses queues, c'est bon !".
commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 25/10/2013 à 06h25

Très excitant !!! Et tellement bien raconté...

Merci pour le partage !

réponse de : Jessica le: 25/10/2013 à 16h45

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