Un type un peu dérangé vient juste de se souvenir qu'il a oublié de détacher sa copine, après une partie de jambes en l'air bien crue. Il se dirige vers la salle de bain pour lui porter secours, mais là, il ne peut s'empêcher de se remémorer la méga baise qu'il vient de vivre ! Il revoie sa chienne de femme se mettre des coups de main dans la foune pendant qu'il se branle ! Mais la meuf n'est pas une débutante et va bien plus loin. Après une superbe fellation, elle détend son string pour se faire casser la rondelle ! Le gars s'agrippe à ses hanches et lui détruit sauvagement le cul. Il se défoule aussi sur son vagin qui coule à flot ! C'est simple, il humilie sa meuf en la prenant vraiment pour un vide burnes ! Mais elle ne s'en plaint pas, et explicite son plaisir en gueulant comme une truie à chaque coup de dard qui lui déglingue le trou de balle !! Et comme toute bonne pétasse qui se respecte, elle ne manque pas de siphonner le jus qui finit de couler le long du gland de son boy, avant de se faire rattacher comme un morceau de viande !
Notre ami Paul est venu nous rendre visite.
Il revient de 15 jours de vacances. Toujours musclé, le corps trapu, il m’a toujours impressionné par sa capacité à
s’exhiber totalement devant n’importe qui.
Sa calvitie bien avancée n’a pas atténué sa capacité sportive et son besoin de plaire.
Ma femme Nadia apprécie son humour décalé. Elle ne le trouve pas beau, mais lui reconnaît un beau regard.
Il est arrivé en fin de semaine. Amateur tout comme moi de vin fin, il nous avait offert une bonne bouteille. Pour
fêter sa venue, nous avons commencé par prendre un superbe apéritif.
Le vin coulait à flot, et l’atmosphère se réchauffait aussi vite que nos esprits s’enflammaient.
Malgré le froid extérieur, je claironnais que j’allais finir par un digestif dans la piscine.
Un verre à la main, je me suis déshabillé entièrement pour entrer dans la piscine. J’oubliais, alcool aidant, que je
portais ma cage de chasteté.
Nadia lui proposa de me rejoindre. Quand il me vit dans l’eau, il s’est rendu compte que je portais une cage. Mon
épouse, en s’approchant de la piscine avec des linges de bain, lui expliqua, l’air amusé
- Karim porte une cage car il le veut. C’est mon petit soumis et cocu.
Paul riait car il croyait à une plaisanterie
J’étais rouge de honte et vite dégrisé. Il m’a fallu montrer l’objet du délit. J’ai du avouer que j’étais bisexuel,
j’aimais le SM, et que j’aimais ma femme au point de lui laisser toute liberté.
Ma femme ne voulait pas parler de mon statut de cocu, pour ne pas donner des idées à Paul. C’était mal connaître
Paul.
Mon ami, devinant le trouble et l’embarras de Nadia, agit comme un chasseur ayant trouvé sa proie et ne voulant
pas la laisser perdre.
Il proposa à Nadia de venir dans la piscine. Elle refusa car elle avait froid. Paul sortit de l’eau avant que ma belle
s’en retourne à l’intérieur. La vue de son sexe en érection stoppa net mon épouse. Il lui demanda, en plongeant ses
beaux yeux bleus dans ceux de ma chérie, de l’essuyer. Elle s’avança timidement. Il la questionnait à voix basse, lui demandant si elle me cocufiait. Ma femme restait immobile, comme figée. Elle répondait dans un murmure.
Personne ne comprenait. Sortant de l’eau, je poussais Paul en lui disant « Embrasse-la, elle déteste qu’on lui
demande l’autorisation ! »
Paul ne réfléchit plus. Il se lance dans un long baiser. Avec surprise pour moi, je vis Nadia lui rendre et mettre ses
mains autour de son cou. Le temps semblait s’arrêter. Ils s’embrassaient si tendrement qu’ils en étaient que plus
beaux.
Paul prenait la tête de ma femme pour mieux l’embrasser. Elle lui caressait le torse, et effleurait sans cesse son sexe.
Mon ami ne restait pas inactif. De sa main gauche, il remontait la robe au dessus des fesses, découvrant avec
stupeur l’absence de string. Sa main droite pétrissait les seins.
Ma chérie s’écarta comme pour reprendre son souffle. Elle fit tomber la robe et apparut nue, dans toute sa beauté.
Paul s’approcha d’elle et la fit se mettre sur le dos. Il s’avança à genoux entre ses cuisses et entreprit de lécher le
sexe de ma femme. Elle s’arc boutait pour mieux profiter de cet instant. Tantôt, elle se tenait les seins, tantôt ses
mains se portaient sur la tête de son amant, comme pour mieux le guider. Dans un superbe râle, ma femme jouit.
Paul se redressa aussitôt et présenta son sexe bandé à l’entrée de sa chatte. Dans une invitation muette, elle le tira
vers elle pour qu’il s’enfonce. Paul prit son temps et s’enfonça lentement, déclenchant une jouissance immédiate.
Il ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle. Il pilonnait mon amour avec une force incroyable. Il alternait
les positions.
C’est debout que Nadia, jambes nouées dans son dos, les fesses contre le mur, accueillit l’orgasme de notre ami. Il
se déversa en elle en spasmes successifs. Il semblait ne jamais arrêter de se déverser dans la chatte de ma femme.
Paul fut le premier à se souvenir de mon existence. Je n’avais pas débandé depuis le début de leur accouplement.
Mon érection, comprimée par la cage, me faisait mal.
Paul me demanda de venir récolter le fruit de sa jouissance. Nadia me fit m’allonger sur le sol, avant de venir
s’accroupir sur mon visage m’offrant sa chatte béante à lécher. Le sperme commençait à couler. Je m’empressais de tout lécher, m’attardant sur les lèvres gonflées. La semence s’écoulait lentement, me permettant de bien profiter de cette chatte. L’odeur m’enivrait presque.
Nadia se mit à gémir.
Mais Paul ne l’entendait pas de cette oreille. Il était devenu le maître du jeu. Cette femelle lui appartenait. Lui seul devait lui donner du plaisir. Il nous fit donc nous relever.
Il m’ordonna de lui rendre sa vigueur. Je m’approchais du sexe flasque et le pris en bouche J’entrepris de lui faire
une fellation qui permettrait à ma belle de bien profiter de ce sexe.
En pleine érection, il demanda à ma tendre de se retirer dans notre chambre avec lui pendant que je rangerai la
maison.
Une heure après, la maison enfin rangée, je suis monté vers notre chambre. La porte était ouverte. Nadia, à quatre
pattes, subissait les assauts de son amant. Paul semblait infatigable.
Je me suis retiré pour aller dormir, comme ils me l’avaient demandé, dans la chambre d’amis
Très excitante comme histoire ! :)
Merci pour le partage !